Pull shetland blanc de chez Bosie

Note : Les équipes derrière Bosie ont gentiment accepté de nous envoyer le pull que vous allez découvrir dans cet article

Vous l’avez sans doute déjà remarqué, Bosie fait partie des premiers sponsors du site. La marque écossaise a droit à son petit encart publicitaire sur la colonne de gauche - tout en bas si vous êtes sur mobile.

Un partenariat dont nous sommes particulièrement content. Et pour cause, leurs pulls shetland font partie de nos préférés. De vrais classiques lorsque les températures passent en dessous des 15°C.

 
 

L’an passé Romain avait écrit quelques lignes sur le même pull dans sa version à col roulé.

Il faut dire que le coloris blanc sa marie avec presque toutes les couleurs. Ce n’est pas pour rien qu’il s’agit de l’une des meilleurs couleurs pour le choix d’une chemise. Le choix paraît moins évident lorsqu’il s’agit de maille et pourtant cela fonctionne tout aussi bien.

 
 

Jean a opté ici pour un double brossage. Pas de extra-shaggy cette fois-ci. Comme le précisait Romain, avec cette couleur le brossage extra-shaggy et la texture donnent l’impression d’enfiler un nuage. C’est cet effet que voulait éviter Jean qui recherchait une finition plus discrète.

De ce fait le pull est sans doute moins chaud et un peu moins doux, il n’en reste pas moins très confortable à porter. Le corollaire de tout ça c’est que vous pourrez le porter plus souvent dans l’année. Plus besoin d’attendre qu’il fasse vraiment froid. Et il match également plus facilement avec des tenues habillées.

 
 

Presque toutes les marques que l’on aime proposent des pulls shetland brossés dans leur offre. De l’authentique made in Scotland en passant par le made in Italy ou made in Portugal voir made in China (Aspesi par exemple), le choix est désormais très large.

Mais une seule marque permet de sélectionner le nombre de brossage : Bosie. Et avec un prix très bien positionné (environ 150€) pour une fabrication écossaise, on reste toujours conquis.

Pulls Bosie disponibles ici.

___________________________

Nos autres articles à (re)lire sur Bosie :

 
 

Jo Gordon - Des écharpes pleines de couleurs

On continue notre série d’articles sur les plus belles écharpes au monde. Celui d’aujourd’hui porte sur la marque britannique Jo Gordon et fait écho à un autre article écrit il y a quelques mois sur la marque Wallace Sewell.

Les deux marques ont un amour pour la couleur et la créativité. Les écharpes Jo Gordon apportent une touche de couleur à n'importe quelle tenue, la cerise sur le gâteau. La différence entre les deux marques ? Les écharpes Jo Gordon sont tricotées et non tissées.

Jo Gordon est la fondatrice de la marque éponyme Jo Gordon. Elle est née et a grandit en Écosse. C’est à l’âge de 16 ans qu’elle a eu sa première expérience avec le monde de la maille. Le bonnet tricoté de son père avait besoin d'être remplacé. Avec l'aide d'une amie de sa mère ils ont tricoté un nouveau bonnet. Son premier tricot et sa première cliente satisfaite.

Le premier d'une longue série car Gordon dirige avec succès sa propre entreprise de tricots depuis 1995. L'amie de sa mère, Vilma, l'aide toujours. Gordon attribue une grande partie du succès de l'entreprise à sa coopération avec des personnes qui partagent sa passion pour la tradition et l'artisanat écossais.

La laine utilisée par Jo Gordon est filée en Écosse et toute la collection est tricotée au Royaume-Uni ou en Écosse.

Jo Gordon : “La laine est un matériau honnête et fonctionnel et l'Écosse a une longue histoire de fabrication et de production des meilleurs tricots au monde. Elle est animée par des personnes aux compétences incroyables et depuis mes débuts, je travaille avec des moulins qui partagent ma passion pour la tradition et l'artisanat. Souvent petits, ces fabricants comprennent l'importance de maintenir leurs compétences en vie. Ils sont les meilleurs dans ce qu'ils font et fournissent la qualité et l'authenticité qui sont au cœur de ce que je produis.

Leurs écharpes, bonnets, chaussettes…sont disponibles ici.

Bute Fabrics

Vous avez sans doute vu passer ce manteau de chez Drake’s cette saison.

 
 

Ce n’est pas un Harris Tweed mais un tweed produit par Bute Fabrics en Écosse, à Rothesay une ville située à proximité de Glasgow.

L’usine a été fondée en 1947 par le 5e marquis de Bute afin de créer des emplois pour les militaires rentrant chez eux après la Seconde Guerre mondiale. Pour ce faire il a repris une filature de coton du XVIIIe siècle et a lancé une industrie “artisanale”, en tissant sur des métiers traditionnels à petite échelle. Elle s’est très vite spécialisée dans la laine et compte aujourd’hui une cinquantaine de personnes.

Leurs tissus et tweeds en laine étaient vendus dès leurs débuts chez Harrods et Liberty à Londres. Ils ont également très rapidemment été utilisés par des maisons de haute couture telles que Balenciaga, Nina Ricci ou encore Pierre Cardin.

Bute s'est également lancée dans la création de tissus d'intérieur dans les années 1970. Ils ont par exemple travaillé avec Herman Miller ou Knoll. La laine, naturellement résistante, était parfaite pour ce type tout type de revêtement d’intérieur.

Ci-dessous le tissu Bute Fabrics utilisé par Drake’s pour son manteau.

Ils disposent par ailleurs de leur propre e-shop. Ce qui a particulièrement attiré notre attention. Ils proposent en effet de très belles écharpes dans le fameux mélange 75% Lambswool 25% Angora que nous adorons tant.

Ils mériteraient sans doute une place dans notre article sur les meilleurs marques d’écharpes.

Le e-shop en question est accessible ici.

McGeorge of Scotland – Un lookbook parisien

Note : nous avons reçu les pièces prises en photo

Timeless Anarchic Luxury” peut-on lire sur certaines étiquettes des mailles écossaises de la maison McGeorge of Scotland. Depuis 1881, la marque propose des pièces en laine, cachemire et coton. Des icônes du styles ont endossés les mailles McGeorge, de Steve McQueen en passant par Grace Kelly, toutes ont eu leur Aran cable sweater ou cardigan col châle.

Le magazine japonais Men’s Club classait, dans son édition de 1990, McGeorge parmi les “Status Brand” au même titre que Rolex et Louis Vuitton. Ce qui est loin d’être un hasard.

 

Le pull rouge mc george est coincé entre J.M. Weston et gucci

 

Nous aimons la maille et en portons au quotidien. Il était logique pour nous de collaborer avec une marque du calibre de McGeorge.

Nous avons le plaisir de vous proposer notre lookbook de pièces en maille de la maison écossaise. Les deux premières ci-dessous sont toutes les deux tricotées dans une très laine Super Geelong très agréable à porter au quotidien.

À noter que Mathieu porte un taille M sur toutes les pièces.

Les tissus Kynoch

Il y a un an nous avions écrit un article consacré à la revue pour homme aujourd’hui disparue, Adam.

À cette occasion nous étions tombé sur de nombreuses publicités pour Kynoch, un fabricant écossais très renommé à l’époque. Il proposait des tissus de vestes et costumes mais aussi par la suite des écharpes et des tapis.

Leurs publicités étaient à la fois très nombreuses dans la revue Adam mais aussi dans d’autres magazines tel que The Tailor & Cutter.

 

Publicité kynoch dans la revue adam

 

Fondé en 1788 à Keith, ce fut l’un des premiers fabricants à remplacer sa production de lin par la fabrication de tissus en laine au début du XXe siècle.

Leurs écharpes sont encore trouvables sur Internet.

capture écran - recherche google “KYNOCH SCARF”

Pourquoi vous parle-t-on de Kynoch ?

Tout simplement parce qu’en voyant leur nom au salon Première Vision, on s’est dit qu’un article à ce sujet serait intéressant.

Car oui, Kynoch continue de prospérer dans le cadre du groupe SIL basé à Bradford. Un groupe qui possède également William Halstead, John Foster, Standeven Fabrics ou encore Joshua Ellis dont on parle régulièrement dans nos articles consacrés aux meilleures écharpes en cachemire.

Le groupe a acquis la société en 2008, leurs tissus sont fabriqués à présent à Langholm, toujours en Écosse.

COLHAY’S – Le cardigan grosse maille fabriqué en Ecosse

COLHAY’S

Le cardigan grosse maille fabriqué en Ecosse

 

Texte : Marcos E.
Photos : Thomas M.
Note : nous avons demandé à Cohlay’s de nous envoyer la pièce que vous aller découvrir dans cet article

4 octobre 1853, la guerre de Crimée éclate et déchire l’Europe. Les forces belligérantes turques, françaises et anglaises s’unissent contre l’expansionnisme russe. Considérée comme la véritable première « guerre moderne » de l’Histoire, elle permit l’utilisation massive de nouvelles technologies telles que les bateaux à vapeur, le télégraphe, les fusils à canon rayé et surtout la photographie. De cette guerre naissent les premiers photographes de guerre – ancêtres des reporters de guerre – grâce à Roger Fenton et James Robertson. Embarqué dans sa photographic van, Fenton entreprend un voyage périlleux en 1855 en direction de la Crimée. Assisté par son cuisinier et assistant, Marcus Sparling, ils sillonnent les champs de batailles en roulotte photographique faisant office de chambre noire ambulante chargés en plaques de verres pour le développement des photos. Si la guerre annihile, elle crée aussi des nouveautés. Sur le champ de bataille, une opposition vestimentaire a lieu. James Thomas Brudenell, lieutenant-général de l’Empire britannique et 7ème Comte de Cardigan, a pour idée de vêtir ses soldats d’une pièce chaude en maille dérivée de la sous-veste militaire lors de l’assaut victorieux de la bataille de Balaklava le 25 octobre 1854. Lord Cardigan vient d’inventer le cardigan.

James Thomas Brudenell, le 7ème Earl de Cardigan, connu sous le nom de Lord Cardigan (1797-1868)

De cet héritage militaire il ne subsiste pas grand-chose – sinon la possibilité de la décliner dans une matière technique – le cardigan est une pièce tellement ancrée dans les habitudes stylistiques modernes, qu’elle en est devenue indispensable dans la cohérence de certaines tenues. C’est ainsi que les marques d’aujourd’hui proposent leur version du cardigan. 

Nous vous proposons de découvrir la version de la marque COLHAY’S, un cardigan grosse maille confectionné en Ecosse dans la plus pure tradition britannique.

Interview du fondateur, Ronnie Chiu

Pour comprendre une marque – qui plus est une marque jeune comme Colhay’s, née en 2019 – nous pensons qu’il est toujours intéressant de se tourner vers celui qui l’a fondé. C’est ainsi que nous avons posé quelques questions à Ronnie. Sa vision du vêtement est précise et classique, inspirez-vous !

 1. Colhay's est-il né de la frustration de ne pas trouver des vêtements en laine que vous recherchiez ? 

D'une certaine manière, oui, mais l'inspiration derrière Colhay's est plus profonde que cela. Mon père a travaillé toute sa vie dans l'industrie de la mode, d'abord dans le prêt-à-porter masculin dans les années 1970, puis il a créé sa propre entreprise de bijoux et d'accessoires de mode. En grandissant, je lui rendais visite sur son lieu de travail et je me souviens avoir vu des piles de magazines de mode sur son grand bureau en chêne, et des milliers d'échantillons accrochés aux murs et éparpillés dans sa salle d'exposition. Par conséquent, dès mon plus jeune âge, mon père a eu une grande influence sur mon style ; c'était un père "cool" qui s'habillait de manière impeccable ; un de ces pères qui avait toujours quelque chose à dire sur la tenue que je portais et qui hochait la tête pour l'approuver ou fronçait les sourcils pour la désapprouver ! Je me souviens qu'on allait faire du shopping ensemble et qu'il me donnait toutes sortes de conseils de style, comme on peut s'y attendre d'un père qui travaille dans la mode. C'est donc de lui que viennent mon amour et mon intérêt pour les vêtements, et il n'est pas surprenant que je me sois orienté vers la mode masculine. La plus grande marque qu'il m'a laissée est peut-être sa conviction qu'il faut investir dans des vêtements de la plus haute qualité et en prendre soin pendant longtemps, car ils prendront ensuite soin de vous. 

En particulier, il croyait fermement que les vêtements fabriqués en Grande-Bretagne étaient de la meilleure qualité et valaient la peine d’avoir investi dedans, car il a grandi dans le Hong Kong colonial britannique. Il m'a transmis deux pulls fabriqués en Écosse qu'il avait achetés avec son premier salaire dans les années 1970, en parfait état après plus de 40 ans d'usure et de lavage à la main. J'ai été tellement impressionné par la qualité de ces pulls que je me suis mis en quête de la même qualité que celle dont mon père parlait si affectueusement, mais j'ai eu du mal à trouver ce même niveau de qualité qui, en même temps, était conçu pour flatter la personne qui le portait - si la qualité était là, le style ne l'était pas, et vice versa. J'ai fini par trouver la ville d'Écosse où les pulls de mon père étaient fabriqués toutes ces années auparavant. Certains des fabricants restants, bien que beaucoup plus petits, produisent toujours avec la même qualité que lorsqu'ils fabriquaient les pulls de mon père il y a tant d'années. En fait, l'un des directeurs de l'usine a tout de suite reconnu l'étiquette du pull de mon père et a plaisanté en disant qu'il avait probablement participé à la fabrication de ce pull lorsqu'il était jeune, il y a 40 ans !

C'est ainsi qu'est né Colhay's - l'idée est de combiner la qualité d'un héritage (des vêtements qui durent toute une vie) avec une esthétique et un design qui flattent la personne qui les porte. Contemporain, oui, mais il s'agit en fait de créer des vêtements qui durent des décennies, tout en veillant à ce que la personne qui les porte soit belle pour l'ère moderne ! 

Par conséquent, je passe beaucoup de temps à concevoir et à redessiner les plus petits détails - la finesse de la taille ou des ourlets côtelés, la façon dont le col doit se placer sur un vêtement. Je passe également beaucoup de temps sur les couleurs et les motifs - pour trouver un équilibre entre l'élégance et le style du porteur, afin qu'il n'attire pas les regards indiscrets !

Par exemple, notre pull cricket en laine d'agneau superfine est doté d'un col en V délibérément plus profond, et est également réalisé dans des rayures très foncées de couleur bordeaux, olive, marine et crème. Je pense que ces détails de conception flattent beaucoup plus la personne qui le porte, et donnent au vêtement un aspect plus moderne et pertinent, par rapport aux pulls de cricket très traditionnels aux couleurs beaucoup plus vives, et aux cols V plus serrés et plus petits. Chacun des produits de notre gamme suit la même philosophie.

 

2. Ces deux dernières années, nous avons assisté à un retour fracassant du cardigan. De quelle manière avez-vous essayé de changer ou de composer avec l'image " vieillotte " que ce vêtement a pour certaines personnes ?

Bonne question ! Le cardigan est un vêtement génial - il dégage cette sensation de nonchalance. Il est extrêmement confortable et va avec n'importe quelle tenue. Il n'est donc pas surprenant que le cardigan soit l'un de nos styles préférés. Comme je l'ai mentionné plus haut, pour tout produit, nous voulons nous assurer que le vêtement flatte la personne qui le porte, et certains éléments de design permettent de donner à la pièce un aspect plus moderne, afin d'ébranler l'image "vieillotte". Par exemple, pour notre tout nouveau cardigan en cachemire à col châle, nous avons accentué la forme en V du col châle en abaissant le point de boutonnage pour qu'il se situe juste au niveau du nombril. Cela exagère la forme en V inversé de l'épaule à la taille (comme une veste de tailleur), et élargit les épaules tout en affinant la taille. Le col châle, lorsqu'il est rabattu, reproduit également le "revers" que l'on obtient sur une veste cintrée en toile de haute qualité :

 

L'autre chose que nous aimons faire, c'est montrer aux gens comment ces vêtements peuvent être intégrés dans une tenue contemporaine, par exemple, le cardigan à col châle peut être superposé à une veste en jean vintage patinée :

 

J'ajouterais que nous avons une section entière sur notre site internet intitulée Style Journal où nous avons réalisé un certain nombre de journaux photo pour donner aux gens des conseils sur la façon de styliser nos vêtements - certaines des combinaisons ne sont peut-être pas si évidentes, mais elles sont superbes selon nous.

3. D'où tirez-vous votre inspiration ? 

Nous nous inspirons de nombreux vêtements historiques, dont beaucoup ont été créés à l'origine pour des raisons fonctionnelles. La plupart des pièces en laine avaient autrefois une fonction qui exigeait qu'elles soient à la fois robustes, confortables et durables. Souvent, lorsque les pièces sont redessinées à plusieurs reprises, la fonctionnalité peut être perdue au profit de l'esthétique - la plupart du temps, nous essayons de ramener cette fonctionnalité, mais en apportant quelques modifications au design pour la rendre plus contemporaine.

La chemise henley en mérinos en est un bon exemple. Nous avons repris la forme traditionnelle de la chemise henley originale avec ses manches courtes plus longues, sa silhouette ajustée pour un look sport et l'ouverture à trois boutons sur le devant. Cependant, nous avons fait en sorte que l'ouverture du col V soit plus profonde, contrairement à l'ouverture plus arrondie de la chemise henley traditionnelle, afin de rendre l'ensemble plus moderne.

 

À gauche : chemise henley en mérinos extra fin de Colhay avec col V profond.

À droite : chemise henley traditionnelle à col arrondi (telle que portée par la légende de l'aviron britannique Jack Beresford)

 

Nous avons écrit un article avec quelques autres exemples que vous pouvez consulter ici. :

4. Quel est votre vêtement en laine préféré pour l'hiver ?

Pour moi, le cardigan à col châle en laine d'agneau superfine est difficile à battre. C'est le vêtement le plus épais et le plus lourd de notre gamme, avec un poids d'environ 1,2 kilogramme, et pourtant, il est super doux sur la peau, car il est fabriqué avec de la laine d'agneau superfine (la laine d'agneau la plus douce au monde, avec des fibres d'un diamètre d'environ 18,5 microns), et lavé dans de l'eau écossaise pour plus de douceur. Habituellement, avec les vêtements en laine, s'ils sont épais, ils sont généralement rugueux ; s'ils sont doux, ils sont généralement fins et fragiles. Avec ce cardigan à col châle en laine d'agneau superfine, vous obtenez le meilleur des deux: épais mais doux. J'adore son côté douillet et confortable, idéal à porter à l'intérieur comme à l'extérieur, et il est si facile à assembler - je préfère personnellement une combinaison double denim avec le col châle écru, comme ceci : 

 
 

 Merci Ronnie !

 

Comment portons-nous le cardigan Colhay’s ?

Ce cardigan col châle est en 100% laine superfine d’agneau de la manufacture Todd & Duncan’s Lamaine, filateur écossais mythique fondé en 1867 et spécialisé dans le cachemire. Sans surprise le cardigan est fabriqué à Hawick, haut lieu de la maille écossaise. C'est d’ailleurs à Hawick que sera développé le concept de «twin-set» dans les années 30 par Otto Weisz, designer en chef de Pringle.

Notre cardigan écru est épais à la main extra-moelleuse, tricoté en 6-fils en jauge 3, il pèse 1,2 kg, un beau bébé ! 

Nous apprécions particulièrement le col généreux et enveloppant. La pièce est épaisse – nous ne le redirons jamais assez – mais non écrasante. Le cardigan Colhay’s est rassurant. 

 
 

Les boutons en corne proviennent d’Italie, deux poches latérales vous permettent de réchauffer vos mains, des manches raglan complètent l’ensemble. Vous connaissez notre amour pour les manches raglan désormais, ce détail est particulièrement apprécié car il permet une liberté de mouvement sans égal tout en flattant une carrure. Parfaite pièce intermédiaire, ce cardigan contient une emmanchure plus haute conférant à l’ensemble une coupe plus contemporaine sans pour autant compromettre l’allure de son porteur.

Nous aimons l’ampleur mais nous conseillons tout de même d’opter pour sa taille habituelle. Ici Mathieu porte une taille M, Colhay’s taille normalement.

Nous affectionnons l’écru pour sa luminosité mais Colhay’s propose ce cardigan dans d’autres couleurs également telles que gris, camel, marron foncé ou encore olive.

 

Un cardigan historique à la réinterprétation contemporaine

Pourquoi opter pour ce cardigan col châle de Colhay’s ? Car Ronnie est un passionné qui a véritablement investi du temps à élaborer une coupe classique et contemporaine à la fois. Mais aussi parce que les détails présents dans cette pièce pour du prêt-à-porter sont quasiment introuvables ailleurs et surtout pour cette laine superfine absolument incroyable de douceur.

Nous sommes de nature assez frileuse, quoi de mieux que de s’envelopper dans une laine moelleuse pour y passer l’hiver avec style ?

 Le cardigan Colhay’s figure comme un indispensable.

 
 
 

Johnstons of Elgin - Soldes

 
Capture d’écran - johnstonsofelgin.com - Décembre 2020

Capture d’écran - johnstonsofelgin.com - Décembre 2020

 

Comme chaque fin d’année, les soldes et/ou les promotions commencent quelques semaines plus tôt de l’autre côté de la Manche.
Nous avons sélectionné quelques pièces en solde chez l’un de nos fabricants écossais préférés : Johnstons of Elgin.

JOHNSTONS OF ELGIN.jpg

Echarpe brossée en laine mérinos
Tartan Black Stewart
59€

ICI

JOHNSTONS OF ELGIN <4.jpg

Echarpe brossée en laine mérinos
Couleur grise
59€

ICI

JOHNSTONS OF ELGIN 9.jpg

Echarpe brossée en laine mérinos
Coloris Navy
59€

ICI

JOHNSTONS OF ELGIN 1.jpg

Echarpe brossée en laine mérinos
Tartan Black Watch
59€

ICI

JOHNSTONS OF ELGIN 2.jpg

Echarpe brossée en laine mérinos
Tartan Silver Bannockbane
59€

ICI