Steiger - Un constructeur Suisse de machines à tricoter

 
 

Steiger est une entreprise Suisse qui produit et développe des machines à tricoter rectilignes pour l’industrie de la mode, du médical et du transport. Créée en 1949 en France à Roanne, c’est à Vionnaz, dans le canton du Valais, que l’entreprise a établi ses quartiers en 1963. En 1979 elle lance la première machine a tricoter entièrement électronique au monde : ELECTRA. Steiger est aujourd’hui le leader technologique des machines à tricoter utilisées pour les produits médicaux et techniques.
Outre son site Suisse, l’entreprise possède une usine de production en Chine depuis 2007 afin de fournir le marché asiatique et américain. Depuis 2010 Steiger fait également partie du groupe Cixing, le leader mondial de la machine à tricoter industrielle.

Nous avons pu échanger avec Pierre-Yves BONVIN, l’actuel PDG de l’entreprise, sur l’histoire de Steiger ainsi que l’évolution du marché des machines à tricoter.

Machine à tricoter rectiligne STEIGER - Modèle ARES Crédit photo : Steiger

Machine à tricoter rectiligne STEIGER - Modèle ARES
Crédit photo : Steiger

Ci-dessous toutes les questions qui ont été abordées au cours de ce podcast.

LE PARCOUS PERSONNEL DE MONSIEUR PIERRE-YVES BONVIN

  • Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ?

  • Quel est votre parcours à la suite vos études d’ingénieur à l’EPFL ?

HISTOIRE DE LA MARQUE

  • Quelle est l’histoire de STEIGER depuis sa création en France jusqu’au rapprochement avec le groupe Cixing ?

  • Pourquoi et comment STEIGER a pu maintenir une activité en Suisse ? - alors que dans le même temps Dubied a dû fermer.

  • Combien de personnes composent aujourd’hui l’entreprise ? Quels sont les profils recherchés ?

PRODUCTION

  • Pouvez-vous nous présenter en quelques mots les différentes machines que vous produisez ? (notamment le type de jauge ou encore le type de produits qu’il est possible de tricoter)

  • Qu’est-ce que le tricotage intégral - pour les auditeurs qui ne connaîtrait pas cette technologie ? Quels sont ses avantages ? Peut-on tout faire en tricotage intégral ?

  • Toutes les fibres peuvent être utilisées ? Est-ce que cette technologie est beaucoup utilisée par les tricoteurs ? Ou reste-il une marge de progression ?

  • On a pu lire récemment qu’un parc comprenant plus de 300 machines à tricoter intégral (STOLL) est en cours de construction aux Etats-Unis. Est-ce que vous pensez que le tricotage intégral va rebattre les cartes de la production de maille dans le monde ?
    Est-ce un tournant pour la relocalisation ?

LE MARCHÉ DE LA MODE

  • On a pu lire que parmi vos clients du secteur de la mode, il y a à la fois des groupes de Luxe et des tricoteurs plus orientés massmarket en Asie.
    Première question, est-ce bien ça ?

  • Deuxième question, si le vêtement final est différent sur bien des points entre une marque de Luxe et une marque plus massmarket, est-ce que ces clients peuvent être amenés à travailler sur les mêmes machines ?

  • Est-ce que vos expertises médicales et industrielles alimentent votre travail dans la mode ?

CONCURRENCE | FUTUR

  • Comment STEIGER se positionne par rapport à STOLL et SHIMA SEIKI ?

  • Quels sont les axes de développement de STEIGER, vos futurs projets ?

 

Tricots Jean Marc - Au cœur de la maille en Île-de-France

 
 

Tout a commencé il y a un an, après la lecture d’un article du journal Libération intitulé A Clamart, il n’y a plus de maille à se faire dans le tricot. Curieux, nous avons donc décidé d’aller à la rencontre de l’un des derniers tricoteurs d’Île-de-France : Tricots Jean Marc. Une histoire de famille qui a commencé en 1972 et qui continue encore 50 ans plus tard. Nous avons échangé avec Mélik BARATIAN, l’actuel PDG de l’entreprise. Il revient sur son parcours et l’histoire méconnue du tricot en Ile-de-France.


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Mes Chaussettes Rouges

 
 

Mes Chaussettes Rouges est une boutique spécialisée dans la chaussette masculine créée en 2009 par deux amis d’enfance, Vincent Metzger et Jacques Tiberghien. L’histoire a démarré par la vente exclusive de chaussettes Gammarelli, un atelier italien qui fournit les ecclésiastiques tel que le Pape. C’est encore aurjoud’hui le seul distributeur des chaussettes Gammarelli en dehors de la petit boutique romaine située Via di S. Chiara à Rome.
Par la suite Mes Chaussettes Rouges étoffe sa gamme, distribue d’autres marques comme Bresciani, fait l’acquisition d’une machine à tricoter Busi, située à côté de la boutique…et bien plus encore à découvrir dans cette interview de Vincent Metzger.

Bonne écoute* !

*interview réalisée peu avant le confinement


 
Boutique Gammarelli à Rome Capture écran octobre 2020 - Google Street View 2019

Boutique Gammarelli à Rome
Capture écran octobre 2020 - Google Street View 2019

 
 
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Le Minor - Une marque française quasi centenaire

 
 

Le Minor est née en 1922 à Lorient. Cent ans plus tard, la marque fabrique toujours en Bretagne des vêtements marins faits pour durer dans le temps.
Pour mieux comprendre son histoire, son développement et ses savoirs-faire, nous sommes allé visiter l’entreprise au début du mois de mars. Elle est installée à Guidel à côté de Lorient depuis 1963. On a été accueilli par Sylvain Flet, un jeune entrepreneur qui a repris l’atelier en 2018 avec son associé Jérôme Permingeat Il accepté de répondre à nos questions et de vous faire visiter l’entreprise à travers le podcast ci-dessous.

Bonne écoute !


Le Podcast - vous pouvez le retrouver sur Apple Podcast.


La matière première essentielle : le fil

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Machine à tricoter circulaire

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Une fois tricoté, le jersey est envoyé à Troyes dans une usine ennoblissement (qui lave notamment le tissu pour éviter qu’il ne rétrécisse par la suite dans votre machine à laver) puis reviens sous forme de rouleau

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Des patronages papier tel que l’on peut aussi en voir dans les ateliers Chaîne et Trame

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Une surjeteuse raseuse prête à l’emploi

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Au cœur de la confection des vêtements Le Minor - Ici une mécanicienne qui travaille avec une piqueuse plate

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